Isabelle et Marco, cinquantenaires passionnés de plongée (on aurait pu s’en douter!)

Depuis 2003, nous avons enchaîné les voyages et croisières aux Maldives, en Thaïlande, en Egypte, ou au Mexique … avec une seule envie : repartir à peine déjà rentrés. C’est grave docteur?

Nous nous sommes mis à la photo et, depuis le passage à l’euro, nous avons pris l’habitude de mettre de côté chaque euro « étranger » afin de nous constituer une cagnotte destinée uniquement aux voyages. Nous avons ainsi pu acheter une partie de notre matériel photo (Canon G9 + caisson Ikelite + grand angle, fish eyes + lentille macro et un Sony W7 avec son caisson), un ordinateur et payer de nombreuses plongées.

Marc

j’ai commencé à plonger à l’âge de 15 ans, et ai passé mon B.E aux Glénans, à l’époque où les plongées se faisaient au mistral et les formations à la dure (arrachage de masques …). Bonne école, cela dit! Pas de plongée pendant 15 ans, mais l’esprit voyageur était déjà là (3 ans au Brésil, voyages à la Réunion, en Afrique, au Cap Vert …), séjour de 2 mois aux Maldives en 86 (plongées bien évidemment) puis de nouveau en 2003 aux Maldives. Reprise de cette passion d’adolescent, formation CMAS 3* (aux Glénans à nouveau) et Padi Rescue. Transmission du virus à toute la famille. Dès qu’il y a de l’eau, le neurone plongée s’active, que ce soit en France (Bretagne) ou à l’étranger. 450 plongées avant ce voyage (aout 2009).

Isabelle

d’une partie de mon enfance en Afrique, il reste ce besoin du voyage, de la découverte d’autres cultures, du soleil et des mers chaudes. Pendant 3 ans j’ai nagé dans des eaux translucides, sans masque (ni palme ou tuba) et, depuis j’ai toujours rêvé de mettre la tête sous l’eau, voir ce qu’il s’y passe et respirer avec les poissons. J’attendrai 2003 et un séjour aux Maldives, pour concrétiser ce vieux rêve. La découverte de la plongée a été au-delà de mes espérances émotionnelles et sensorielles. Un accident de parcours en 2005 me laisse handicapée, mais dès que je suis sous l’eau, plus de problème, je retrouve l’usage de mes jambes (même si mon palmage n’est pas très élégant!). Aux eaux froides de Bretagne, je préfère l’eau chaude, limpide et pleine de poissons (petits et gros), c’est encore mieux! 250 plongées à l’heure actuelle (aout 2009) et n’ai pas encore vu de Manta.